Il ne reste plus que trois mois pour vous équiper de détecteur de fumée. La majorité des Français ne se sont pas encore équipés d’un détecteur de fumée. Il est temps d’en acheter surtout que cet objet est vital, peu coûteux et simple à poser.
D’après les pompiers, entre 15 et 20% des Français ont acheté un détecteur de fumée alors que dans trois mois tous les foyers doivent être équipés de cet objet. Ils notent que dans ce pourcentage, nombreux Français n’ont pas encore installé le détecteur.
Sachez déjà que l’installation d’un détecteur de fumée ne vous ruinera pas, rassurez-vous ! Le prix varie entre 15 et 40 euros, 15 pour un modèle de base et 40 pour le modèle doté d’une autonomie de 10 ans. D’ailleurs c’est celui que préconisent les pompiers. Il existe d’autres types de détecteurs qui coûteraient dans les 100 euros dont la particularité est d’être connectée à un téléphone via un Wi-fi intégré.
Toutefois, faites attention aux d’appareils non certifiés, les professionnels préconisent l’achat des DAAF portant la marque NF « en plus du marquage CE obligatoire ».
Pour le fonctionnement du détecteur, il s’agit d’une alarme. Donc, dès qu’elle sonne, il faut tout vérifier aux alentours s’il y a incendie. Le commandant Rémy explique que « S’il y a incendie, il faut regarder si on peut l’arrêter d’un simple geste. Dans le cas contraire, on isole l’endroit en fermant la porte. Ensuite on évacue tout le monde ou on se met à l’abri en se calfeutrant dans une pièce avec fenêtre et on appelle les secours. Il faut se rappeler que la fumée tue, qu’elle est toxique, opaque, chaude et mobile ».
En ce qui concerne l’assurance, une attestation d’installation doit être envoyée à la compagnie d’assurance (une est disponible avec les appareils). Les assurés seront indemnisés en cas de non-installation.
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